L’Europe a déjà levé les mesures de confinements depuis le 15 juin dernier. Les gens habitant dans les pays européens ont bel et bien passé des vacances durant le mois de juillet et aout, maintenant, si les cas confirmés du coronavirus ont augmenté et cela risque une deuxième vague de re confinement, pour le moment, l’Europe compte accentuer les mesures de barrières sanitaires, surtout pour cadrer le domaine du tourisme.
Voyager seulement à l’intérieur de son pays
Puisqu’on parle de l’Europe, la France prend une grande partie dans ce continent. L’État français demande de rester en France pour passer les vacances d’été, seulement, les chiffres ne mentent pas et pour ce voyage d’été, il est important de respecter les codes couleurs des régions. Regardez la carte de la France que vous pouvez observer sur le site de « Ouest-France.fr » par exemple, et définissez les zones colorées. Les zones rouges restent fermées, ceux qui sont en orange demandent un isolement de quatorze jours obligatoirement, et les zones vertes sont libres dont vous avez carte blanche pour circuler. Pour obtenir un Visa dans toutes les zones, vous devrez passer un test PCR et montrer un certificat daté d’au moins trois jours.
Les pays qui sont ouverts pour la France
Il y a maintenant une vingtaine de pays qui s’ouvrent aux Français. Ces pays demandent que tous les passagers remplissent les formulaires préétablis sur les sites de chaque ambassade. Ils demandent également un certificat de santé qui garantit la personne durant les séjours qu’il va passer dans le pays. Et bien évidemment le test PCR, et d’autres pays exigent un isolement obligatoire de 14 jours, c’est le cas de l’Islande et de l’Allemagne, la Belgique, la Norvège et les pays de Baltes par exemple. Bientôt, cette exigence d’isolement sera beaucoup plus intensifiée dans les prochains jours à venir.
Il est tout à fait possible que l’Europe aille appliquer la restriction de fermeture des frontières si les chiffres vont à la catastrophe, il faut pour autant prendre une mesure très stricte pour les travailleurs frontaliers.